Denis Martin de l'A.R.M.R.E.L. et mon blocage aux archives d'Eure-et-Loir

Ce blog "Chez Jeannette Fleurs" contient 800 articles.

Il est ouvert depuis août 2014.

Pour commencer...

Je tiens à préciser que je n'ai JAMAIS eu aucunes plaintes pour un seul de mes articles.

Mais, par contre, de nombreux remerciements.

Je cite régulièrement mes sources.

Et, comme j'ai écrit récemment de longs articles sur la Résistance (notamment à Chaudon)...

J'ai toujours eu des retombées positives.

Et des félicitations des familles concernées.

Jusqu'à ce que...

Je remarque deux faits concomitants...

1/ Tout d'abord un mauvais contact avec un certain Denis Martin de l'ARMREL...

[Association de Recherches pour la Mémoire de la Résistance en Eure-et-Loir.]

Via un message odieux laissé sur le formulaire de contact de ce blog le 12 février dernier :

"Madame,
Vous reproduisez sur votre site l'intégralité du texte de l'hommage à Sylvia LANDAU ainsi que des illustrations portant notre logo publiés sur notre site en 2010... et vous le signez sans indiquer la moindre source. Qui vous donne ce droit ? Denis MARTIN, Président Association de Recherche pour la Mémoire de la Résistance en Eure-et-Loir.

Envoyé par DENIS MARTIN (projetarmrel28@orange.fr) à partir du formulaire chez.jeannette.fleurs.over-blog.com/contact accessible sur votre blog."

Là, c'est la raison officielle...

Je me suis donc vite excusée, dès le 13 février, en râlant un peu sur la forme autoritaire et désagréable de ce message.

"Cher Monsieur...

J'ai pris ce texte sur Wikipedia.

Mais, suite à votre demande, j'ai cité votre lien en sources.

Cela serait quand même plus sympathique si vous étiez moins agressif...

Vous devriez être content que l'on écrive encore sur la petite Sylvia.

Bien à vous.

Liliane Langellier"

Le 14 février...

Message odieux cette fois d'une certaine Myriam Aymard (qui, sur LinkedIn, semble être assistante administrative dans la région de Lyon)...

Message dont l'objet est tellement mal libellé qu'il a échoué dans mes messages indésirables :

"Madame,

Vous avez pleinement raison : « cela serait quand même plus sympathique si vous étiez moins agressive. » car, et nous sommes au regret de vous le rappeler, l’agression vient de vous !

Ainsi donc, vous vous approvisionnez sur Wikipédia… Fort bien ! Il vous aura sans doute échappé que le texte que vous utilisez abondamment est assorti d’une note en bas de page que vous aviez jusqu’ici ignorée et que vous mentionnez maintenant.

L’utilisation de Wikipédia reste toutefois une excuse des plus passables… Elle est de surcroît pour le moins incomplète : vous reproduisez en effet sans notre accord des illustrations prises sur notre site, ainsi qu’une capture d’écran parfaitement identifiable en tronquant une signature. « Toutes reproductions partielles ou totales sont interdites sans l’accord des auteurs » est pourtant une mention des plus explicites ! De quelle autorité y dérogez-vous ?

Par ailleurs, nous n’avons pas à être contents « que l’on écrive encore sur la petite Sylvia » surtout quand « on » écrit des contre-vérités : Sylvia LANDAU n’a pas été arrêtée par les gendarmes français comme le laisse penser votre article ; elle n’a pas non plus été arrêtée dans l’école ! Où allez-vous chercher de pareilles affabulations ?

Depuis plus de quinze ans, notre équipe a exhumé, construit, entretenu et partagé la mémoire de Sylvia et nous continuerons de le faire, pour Sylvia et pour d’autres encore. Il ne vous appartient pas de falsifier cette mémoire.

Au regret, Madame, nous n’avons pas la réputation d’être « sympathiques » avec celles et ceux qui utilisent de telles méthodes.

D.MARTIN, Président de l’Association de Recherche pour la Mémoire de la Résistance en Eure-et-Loir "

Quelle hargne !

Mais, quelle hargne !

Vous avez lu les mots méchamment soulignés ?

J'ai supprimé de ce blog mon article sur Sylvia Landau dont la mémoire, apparemment, n'appartient qu'à eux.

Lire le Wikipedia de Boutigny-Prouais avec mention de Sylvia Landau.

Dommage !

Et je suis allée illico voir ce qu'il en retournait de l'A.R.M.R.E.L.

C'est une simple Association Loi 1901.

Association qui n'est nullement citée dans la remarquable vidéo sur la résistance de la société archéologique d'Eure-et-Loir :

Association qui a oublié (???) de mettre notre Maurice Glédel en ligne.

Pas de traces non plus de Raymond Hélix, de Michel Cloche ou d'Alfred Prémartin.

Des Résistants de sensibilité politique disons plutôt "de gauche"...

Par contre, la mise en page de ce site laisse vraiment à désirer. Et je lis un référent "Histoire" = Albert Hude.

Qui a écrit, lui, beaucoup d'inexactitudes sur cette période de Seconde Guerre mondiale en Eure-et-Loir.

"Pour conclure, cet ouvrage n’est donc pas historique, seulement l’expression d’un fantasme, celui d’une résistance eurélienne héroïque, alors qu’elle ne le fut pas vraiment. Il y a quelques semaines, j’avais publié un article de synthèse sur la résistance en Eure-et-Loir. Puisse-t-il servir de base de réflexion. Et que s’engage le débat."

Lire Gérard Leray dans les commentaires.

Sur le site de Denis Martin, aucunes traces de Gérard Leray.

Professeur d'Histoire, plutôt de gauche.

Référent absolu et historien reconnu de cette période.

Je commence à comprendre....

Et puis...

Alors que M. Denis Martin nous affiche glorieusement qu'il a eu, depuis la création de son site en juin 2010, 8.172 visiteurs...

Mon blog, créé en août 2014, en totalise plus de 221.000.

Tournant actuellement à environ 12.000 visiteurs par mois.

Lire Pages ARMREL ici.

2/ J'ai été bashée et interdite du site des Archives 28.

Au lieu d'essayer de me venir en aide...

La responsable des archives de Chartres, jointe par mails, puis par téléphone, ose me culpabiliser et me dire que, tout cela est de ma faute...

C'est à moi de nettoyer mes cookies et mon historique.

C'est à moi de joindre mon fournisseur d'accès.

Je lui précise que mon ordinateur ET mon portable ne peuvent pas se connecter sur leur site...

Elle ose alors m'envoyer un mode d'emploi pour nettoyer le dit ordinateur et avoir de nouveau accès à leur site.

Et me dit de changer de navigateur.

J'obtempère.

Et en effaçant tous mes cookies...

Cela m'oblige à entrer de nouveau mes mots de passe sur tous les nombreux sites auxquels je suis abonnée....

Des heures de boulot car je me connecte régulièrement à de nombreux médias !

J'ai aussi effectué un diagnostique de mon réseau Windows.

C'est clair :

Du côté d'Orange...

Au bout du second appel de leurs services techniques, je tombe enfin sur un technicien sympa (si, si, ça arrive...)

Je lui précise que je peux joindre tous les autres sites des archives françaises sans problèmes.

SAUF les archives d'Eure-et-Loir.

Et lui dis que de mon portable non plus je ne peux pas joindre les archives de Chartres.

Il va prendre son temps..

Et me dire ce dont je me doutais :

- J'ai été interdite de site !

- On a bloqué mes deux I.P. (ordinateur et portable) pour m'empêcher d'y entrer.

Après effacement de mes cookies...

Je m'aperçois également que 8 des sites que je fréquente ont été l'objet de l'intrusion d'une personne qui a remplacé mes mots de passe par CHAUDON.

Alors, soyons sérieux...

De deux choses l'une :

- soit l'ARMREL m'a fait mettre un virus bloquant mon accès aux archives de Chartres,

- soit l'ARMREL a joint les archives de Chartres pour me faire interdire de site.

Ce qui me semble le plus probable :

Voilà le travail !

Des méthodes qui puent le fascisme...

Et l'extrême droite.

La question est :

Comment peut-on se permettre d'écrire sur ces valeureux Résistants d'Eure-et-Loir qui ont combattu les nazis...

Et employer au quotidien les mêmes méthodes que ces dits nazis ???

Je n'ai pas de réponse.

Mais je vais joindre illico mon député et mon conseiller général.

Pour me plaindre de cette exclusion des archives de Chartres.

Je vais également poster cet article sur Facebook, Twitter et Instagram où je suis très suivie.

#nonmais

Est-ce encore utile de le rappeler ici...

Grâce à mon blog "La Piste de Lormaye", la petite Solange Speiser/Lehman a pu faire nommer Juste Parmi Les Nations les époux Jouvelin qui l'avaient cachée à Lormaye entre 1942 et 1944.